Dire un poème. Le sien. Celui d’un-e autre. Le lire à voix haute. Essayer. Le visage ouvert vers l’œil et l’oreille de l’autre. Parfois pour la première fois. Sans souci de la performance. Sans l’inquiétude de lire le bon ou le mauvais poème. Lire librement de la poésie. Une voix parmi les autres. Au mois de mars 2021, une vingtaine de participants ont accepté l’invitation de l’Annexe à lire un poème à voix haute devant la caméra, depuis chez eux ou devant celle de la maison de quartier des Confluences à Nantes.Ils sont d’ici et d’ailleurs, pour beaucoup habitants de Nantes-sud, mais pas uniquement. Ils forment une mosaïque. Une mosaïque qui se dilate grâce à vos participations. Continuez à nous envoyer des poèmes filmés et dès que nos portes s’ouvrent à nouveau, venez les lire ici, aux Confluences, à Nantes-sud.